Grenoble n’y arrive toujours pas en cette année 2019. Décryptons ensemble cette 25ème journée de Dominos Ligue 2.

Le top5 se dessine clairement

Le leader renoue avec le succès en s’imposant face à Béziers (18ème). En infériorité numérique durant la majorité de la seconde période, les grenats s’en sont remis à Niane. Cette victoire permet au FC Metz (1er) de reprendre une avance de trois points sur Brest (2ème), qui a été tenu en échec par le Gazéléc Ajaccio (15ème). Les Corses enchaînent une cinquième rencontre sans défaite. Le Stade Brestois se retrouve lui à portée de Lorient (3ème) qui s’impose comme l’équipe du moment, avec une quatrième victoire consécutive. Les hommes de Landreau sont sortis vainqueurs de leur duel face au Red Star (20ème), qui retrouve la dernière place du classement. Au pied du podium, le Paris FC (4ème) a été rejoint dans les derniers instants par l’AC Ajaccio (13ème), alors que Lens (5ème) a ramené la victoire de son déplacement à Sochaux (17ème). Les Corses sont proches du maintien, à l’inverse de Sochaux, qui occupe la place de premier non relégable à l’aube de la 26ème journée. Le Havre (6ème) pointe désormais à cinq longueurs du denier barragiste à l’accession. Les Normands se sont inclinés à la surprise générale contre Nancy (19ème), qui se remet à croire au maintien. Également, Clermont (8ème) s’est de nouveau incliné à Auxerre (12ème) et s’enfonce dans une mauvaise passe. Même constat pour Grenoble (9ème), défait par Valenciennes (16ème). Dans le duel de haut de tableau qui opposait Niort (10ème) et Troyes (7ème), les deux équipes ne sont pas parvenues à se départager. L’écart avec le top5 se creuse au fil des journées.

Nancy, Béziers, Red Star mal embarqués

Dans la deuxième partie de tableau, Orléans (11ème) poursuit son redressement en allant chercher la victoire à Châteauroux (14ème). Les mal classés affrontaient eux des grosses écuries comme vu précédemment, mais sont parvenus à accrocher des points précieux dans la course au maintien. Toutefois, les relégables demeurent au fil des week-ends.

Martin Bornet

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