L’idole de la Finet a accordé un entretien à So Foot suite au décès de son compatriote Diego Maradona. L’occasion pour l’attaquant argentin d’évoquer son passage au GF38. Extraits.

Comment est-ce que tu décrirais ton passage au GF38 ?
C’était merveilleux. Max (Marty, directeur sportif du GF38, N.D.L.R) et Alain Michel (entraîneur du GF38 entre 2001 et 2004, N.D.L.R) m’avaient invité à un match du club pour me convaincre de signer. Ce jour-là, j’ai eu un coup de foudre : j’ai pris l’avion depuis Charleroi jusqu’à Lyon, puis le train jusqu’à Grenoble. Je me souviens encore de la découverte des premiers paysages avec ces montagnes et les sommets enneigés, qu’est-ce que c’était beau ! Avec ma femme, mes enfants et certains amis comme Daniel Arenas, nous avons passé trois années fantastiques. À ma propre échelle, je me sentais aimé comme Maradona à Naples ! (Rires.) Dans mes plus beaux souvenirs, il y a ce ciseau retourné contre l’AS Saint-Étienne. J’adorais effectuer ce geste, et je crois que les supporters aimaient aussi quand je le tentais.

Ça te plairait de revenir travailler en France à l’avenir ?
À vrai dire, j’étais en discussion avec Max pour exercer dans le recrutement en collaboration avec le club. J’ai une relation très spéciale avec lui, il m’a toujours bien traité et nous avons gardé des contacts réguliers après mon départ. Hélas, la pandémie est venue perturber notre quotidien à tous, et ce dossier est resté en suspens. Mais j’espère beaucoup que cela va se concrétiser, c’est un réel objectif d’amener une touche argentine au club. Revenir en France et travailler pour Grenoble, ce serait magnifique.

 

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