A l’exception d’un pénalty transformé par Terell Ondaan, le GF38 n’a pas inscrit un seul but suite à un coup de pied arrêté lors des dix premières journées de Ligue 2. Une anomalie dans un football moderne où les situations se débloquent souvent par cet intermédiaire. En Ligue 1, après 9 journées, seulement deux formations sont ainsi dans le même cas de figure (Toulouse et Dijon) et elles ont mis nettement moins de buts au total que les Dauphinois.
Grenoble dispose pourtant de bons joueurs de tête (Gibaud, Monfray, Vandenabeele, Pickel…) et de tireurs qui oscillent entre le correct (M’Changama qui était très inconstant dans le domaine) et le pas mal (Michel et Benet). La formation alpine dispose aussi de très nombreuses cartouches dans ce domaine depuis le début de la saison. On se souvient par exemple des 11 corners (!) obtenus sur la pelouse de Niort il y a quelques semaines.
Philippe Hinschberger s’est exprimé à ce sujet ce jeudi lors de la conférence de presse organisée avant la réception d’Orléans. Il est également revenu sur les situations défensives, les trois derniers buts encaissés par son équipe l’ayant été… suite à des coups de pied arrêtés.
